Trop de voitures, trop de béton, trop de déchets

Trop d'incivisme, trop d'égoïsme, trop de tout.

La terre était là avant nous. Elle a accueilli l'homme, elle

nous a accueillis.

Petit à petit l'homme s'est cru en pays conquis.

Sur elle il a avancé, a développé ce que l'on appelle le progrès.

Pour se loger et autres activités il a bétonné ce qui

était nature et verdure sans se demander quel impact

tout ça aurait sur la planète terre au fil des années, des siècles.

Et voilà, nous sommes arrivés au point où la

nature ne peut plus rien absorber et nous renvoie tout.

 Les orages, les tornades et autres inondations mortelles.

La sècheresse, la canicule qui font que

nos corps souffrent et par manque d'eau

les endroits boisés et verts avant se dessèchent.

Souvent aidés par la main de l'homme ils flambent.

Là c'est désolation, tristesse, paysages lunaires et

mort de la nature, parfois de l'homme aussi.

Mais l'homme reste sourd et aveugle à tout ça.

Lorsque arrive une catastrophe genre inondations ou feux dévastateurs, l'homme panique c'est

la désolation, les hauts cris

 Une fois tout rentré dans l'ordre ou presque, l'homme a

la faculté d'oublier ou de se dire qu'il n'est pas fautif, c'est l'autre le fautif.

Tranquillement il retourne à sa vie, va continuer

à polluer, à faire que la nature continue à étouffer

sans culpabiliser puisque si la nature se meurt ce

n'est pas de sa faute, c'est celle de l'autre...

©caroline